Astrologie Védique

ou indienne

Le thème astral basé sur le zodiaque sidéral
et les demeures lunaires

Bienvenue !

Je m’appelle Claire et je vous souhaite la bienvenue dans l’univers de Jyotish,
la très ancienne science astrologique de l’Inde issus des Vedas.

Un univers dans lequel l’ordre cosmique se révèle à chaque instant.
Là, où se tisse au fil du temps, la toile de notre destin individuel,
entre
loi de cause à effet et libre arbitre.
Là, où au cœur des étoiles, est inscrit notre destinée depuis notre naissance en ce monde.

Jyotish, considéré comme les « yeux des Vedas » ou la « lumière des Vedas »,
existe pour éclairer notre chemin et avancer en conscience dans notre vie.


L’astrologie védique offre une vision holistique, vaste et profonde
sur le destin de l’homme.

Elle fait appel à une conscience de soi dans ce monde
si proche et si lointain à la fois.

Comme moi, laissez-vous surprendre par la profondeur

et la pertinence de l’astrologie védique en explorant ses facettes.

Astrologie Védique
La sagesse d'un système de pensée ancestral

L’astrologie védique offre une vision holistique, vaste et profonde sur le destin de l’homme.
Elle fait appel à une conscience de soi dans ce monde si proche et lointain à la fois.

L’astrologie védique remonte à une époque très lointaine. Les connaissances traditionnelles de l’Inde ancienne ont tout d’abord été transmises par voie orale.  Il est donc difficile de dater précisément les débuts de Jyotish, science astrologique de l’Inde. Ainsi que de connaître les influences qu’elle a absorbé au fil du temps.

On retrouve sa trace dans un des six Vedangas qui sont des traités annexes aux Vedas. Comme les Vedas, Jyotish est le fruit de l’inspiration des sages appelés Rishis. Cette science est donc issue de cette même source de sagesse ancienne et profonde. Ceci explique pourquoi elle est toujours un élément central, voire incontournable, de la culture et de la société indiennes.

Parmi les textes anciens et sacrés de l’Inde, on trouve mentionné dans l’Atharva Veda, le concept des trois gunas (triguna). Par la suite, ce concept a été développé plus en détail dans la philosophie Sāmkhya.

Les 3 gunas, nommés Sattva, Rajas et Tamas, sont les trois qualités premières issues de la Prakriti ou Nature. Sattva est la qualité qui se rapporte à la connaissance et à la pureté. Rajas fait référence à l’activité et aux désirs. Tamas contient le principe de stabilité et d’ignorance.

Aucun de ces trois gunas n’existe séparément. Chaque chose que nous percevons dans ce monde est le résultat d’une combinaison de ces trois qualités. Dans les êtres humains, c’est la même chose. Le corps, la personnalité et le mode d’action que chacun manifeste reflète le degré de prédominance de l’un ou l’autre. Cette prédominance va aussi varier en fonction de la journée ou des situations présentes.

En astrologie védique, ce concept s’applique tant aux planètes qu’aux signes. Ainsi, par exemple, Jupiter est sattvique, Vénus rajasique et Saturne tamasique. Le Bélier est rajasique, la Vierge tamasique et les Poissons sattviques.

En plus des trois gunas spécifiques à la culture indienne, Jyotish utilise le concept des 4 éléments. Ils existent aussi en astrologie occidentale. Ce sont le Feu, la Terre, l’Air et l’Eau. Auxquels, en Inde, s’ajoute l’élément Ether ou Akasha (espace) qui contient les 4 autres. On retrouve ce concept fondamental dans l’Ayurveda, avec les doshas. Pour l’astrologue védique, ces 5 éléments sont donc un moyen supplémentaire d’apprécier la qualité énergétique des signes et des planètes.

Selon le Jñāna yoga, qui signifie yoga de la connaissance, il existe 3 types de karma. Ils sont connus sous le nom de karma sanchita, karma prarabdha et karma kriyamana. D’autres traditions ont créé des subdivisions. Mais ce qu’il faut retenir du mot karma est qu’il désigne une grande loi universelle. Celle qui sous-tend  le principe « de cause à effet ». C’est un processus infini où nous moissonnons les fruits de nos actions, pensées et désirs antérieurs. Tandis que, dans le même temps, nous engendrons de nouvelles causes par nos actions, pensées et désirs actuels. Avec les effets que nous récolterons plus tard. L’objet qui symbolise parfaitement ce cycle perpétuel est la roue. On parle alors de roue karmique.

En astrologie védique, et selon la connaissance transmise par les sages, les planètes ou grahas sont les objets célestes qui restituent les fruits de nos actions antérieures. Selon l’agencement des planètes dans le thème natal, il est possible de pénétrer le sens des types de karmas que nous récolterons dans cette vie. Et, selon les transits planétaires et les périodes planétaires, il est possible d’estimer le moment de leur manifestation et la manière dont ceux-ci nous serons présentés.

Depuis bien longtemps, l’astrologie védique est présente de manière très vivante en Inde. Elle procède d’un système de pensée à la fois flexible et intemporel. Mais toujours ancré dans une vision du monde empreinte de connaissance sacrée, directe et authentique. Ainsi de nombreuses techniques de lectures astrologiques ont été créées au fil des siècles. Aucune approche ne fait vraiment de l’ombre à l’autre. Au contraire, chacune apporte un angle d’analyse qui profite à tout étudiant ou chercheur.
 
Aujourd’hui, grâce aux échanges que le monde du numérique permet, on assiste depuis une vingtaine d’années à une expansion de sa notoriété. Jyotish est actuellement bien intégré dans le monde anglo-saxon. Car la majorité des livres disponibles sur l’astrologique indienne, dans le monde occidental, est rédigée en anglais.
 
De ce fait, pour que la barrière de la langue ne soit plus un frein, j’ai entrepris un projet ambitieux. Mais j’espère trouver avec le temps d’autres passionnés de l’astrologie védique. La rendre, peu à peu, plus accessible au monde francophone est forcément un défi à relever qui va prendre du temps et de la détermination.
 

Qui n’aspire pas à être plus heureux ou plus chanceux dans sa vie ? Après une épreuve difficile, qui s’interroge sur ce qui lui arrive ? Ou qui se tourne vers un travail personnel pour développer une meilleure version de soi ? Combien parmi nous cherche des réponses, veut donner du sens à sa vie, désire suivre l’appel de son cœur ? Combien ?

Bien que la vie ressemble plus souvent à un purgatoire qu’à un paradis, la Terre, Karma Bhumi, est la terre du karma. Selon la philosophie de l’Inde, c’est le meilleur endroit pour semer de nouvelles et de plus belles graines. Ainsi, peu à peu, nous apprenons à nous libérer des souffrances liées aux différents karmas et aux incarnations successives. 
 
Dans ce processus, l’astrologie védique est un des meilleurs supports disponibles aujourd’hui. Elle peut nous guider en conscience vers un changement de trajectoire de notre destinée. En permettant, d’une part, de comprendre les méandres et les causes de notre existence. Et, d’autre part, d’exercer notre libre arbitre pour le meilleur résultat qui soit. C’est parce que le libre arbitre est un pouvoir sans égal que l’astrologie indienne a créée tout un système de mesures correctives. Elles nous aident à canaliser et harmoniser les karmas délivrés dans le temps par les planètes (grahas).
 

L’ouvrage de référence qui fait globalement consensus en astrologie védique est le Brihat Parashara Hora Shastra ou BPHS. C’est un ouvrage qui comporte 97 chapitres, à la fois philosophiques et techniques.

Philosophique d’abord, car il donne les fondements de l’ordre cosmogonique ainsi que le rôle et la nature des planètes. Puis technique ensuite, car il fournit de nombreux éléments de calculs mathématiques. Ainsi que des principes d’interprétation liés à l’observation conjointe des phénomènes célestes et terrestres.

La partie centrale du BPHS donne l’ensemble des principes. De longs chapitres fournissent des allégations relatives aux configurations planétaires. Elles ont pour but de guider le Jyotisha dans sa pratique tout en lui laissant la capacité d’extrapoler son interprétation à partir de ces principes fondamentaux.

Astrologie Védique
Un support universel pour se révéler à soi-même

L’astrologie invite à une immersion dans l’Univers pour se connaître.
et à une plongée en soi-même pour connaître l’Univers.

En astrologie, le choix du zodiaque, entre tropical et sidéral, est une question ancienne et brûlante et toujours d’actualité. Il y a les « pour » et il y a les « contre ». Avant de prendre position, il est sans doute nécessaire de comprendre une chose. Ces deux grands systèmes astrologiques ont été élaborés à partir de repères astronomiques différents. Le zodiaque céleste tropical est lié aux saisons alors que le zodiaque sidéral est lié aux étoiles fixes.

De mon point de vue, il n’y a pas un zodiaque meilleur que l’autre. Puisque les interprétations astrologiques sont censées résulter de leur adéquation avec les repères astronomiques. C’est donc une question de perspective et de qualité d’interprétation.

Vidéo : Zodiaque tropical vs zodiaque sidéral

Les nakshatras ou demeures lunaires constituent l’ensemble des 27 portions du zodiaque lunaire. Chaque portion est identifiée par un astérisme et correspond sur le zodiaque de 360° à 13°20′ d’arc. La Lune passe environ 24 heures dans un nakshatra.

Les nakshatras possèdent un ensemble d’attributs essentiels. Ils ont chacun un pouvoir ou shakti, un ou plusieurs symboles, une déité, un désir et une planète gouvernante. Ces attributs permettent de différencier chaque demeure lunaire par des caractéristiques symboliques et archétypales qui lui sont propres.

L’ascendant et les 9 planètes se placent, dans le thème natal, dans l’un ou l’autre de ces 27 nakshatras. Il est donc possible de comprendre l’essence, la motivation et la manière de fonctionner de chaque planète.

Grahas, tel est le nom donné aux planètes utilisées en astrologie védique. « Grah », est un terme sanskrit qui possède plusieurs nuances. Mais le sens global est tout à fait explicite : « prendre, saisir, s’emparer de, acquérir ; gagner, appréhender, comprendre, recevoir, accepter, éclipser ; dérober,  capturer, faire prisonnier ; terrasser, être pris, être saisi. » Les Grahas sont donc les forces célestes agissantes dans notre système solaire. Elles « saisissent » nos êtres et nos âmes dans leur ronde cosmique.

Les 9 planètes ou Navagrahas utilisées en astrologie védique sont les planètes visibles à l’œil nu. Ce sont les deux luminaires, Surya (le Soleil) et Chandra (la Lune). Kuja (Mars) et Budha (Mercure). Guru (Jupiter) et Shukra (Vénus). Shani (Saturne) et les deux nœuds lunaires Rahu (nœud nord) et Ketu (nœud sud).

L’ascendant est connu en astrologie védique sous le nom de lagna. Ce terme sanskrit se traduit par « accroché à, collé à, qui imprègne, fixé durablement ».

Le point ascendant correspond au degré du Zodiaque sidéral qui se lève à l’Est au moment et sur le lieu d’une naissance. L’ascendant indique le point de départ de l’horoscope. Il indique aussi le placement de l’ensemble des planètes. Chaque planète se trouve donc fixée  sur un degré précis du zodiaque de 360°. En somme, l’horoscope ou thème natal est une image instantanée du ciel. Elle fixe et imprègne durablement la vie d’une personne ou de toute chose créée à cet instant T.

L’ascendant conditionne aussi l’emplacement des 12 maisons d’un thème. Ainsi que la position de chaque planète dans l’une de ces maisons. ASC + planètes + maisons sont les 3 clés de départ qui permettent de dresser une carte astrale et d’évaluer une destinée. Il existe également d’autres subdivisions du thème. Ce sont les cartes divisionnelles ou Vargas.

Rashi est le terme utilisé en astrologie védique pour désigner une constellation. Chacune des 12 constellations est caractérisée par une figure d’étoiles repérée par les anciens. Généralement, leurs étoiles les plus signifiantes se trouvent placées à proximité du plan de l’écliptique. C’est notamment pour cette raison que la constellation du Scorpion a prévalue sur la constellation du Serpentaire (Ophiuchus). En effet, le groupe de quatre étoiles qui se situe dans la tête du Scorpion avec Antares, la plus brillante d’entre elles, est à la fois plus visible et plus proche de l’écliptique.

En pratique astrologique, une planète située dans un signe va être influencé par la composante psychique du signe. Ce qui va, soit accentuer la modalité première de la planète, soit la modifier, soit plus ou moins la contrarier. L’astrologie védique utilise le concept d’amitiés planétaires qui aura également une incidence sur leurs relations dans un thème.

En astrologie védique, bhava est le terme sanskrit qui correspond au mot « maison ». Si le mot maison évoque un domaine existentiel particulier, le mot bhava ajoute un sens plus profond puisqu’il signifie à la fois « existence, état, origine, naissance ».

De la même manière que la destinée d’une personne est fixée sur la carte natale à partir de l’ascendant, les maisons sont, elles aussi, porteuses de la destinée spécifique au domaine qu’elles représentent. Ainsi, chaque maison manifeste ses caractéristiques propres selon son état, son origine et sa naissance. 

Cet état, et son devenir, s’évalue en fonction de différents facteurs. Par exemple, il y a le signe de la maison, la puissance et le positionnement de son gouverneur. Ainsi que les planètes qui sont situées dans cette maison et les aspects d’autres planètes que celles-ci reçoivent.

Demandez votre carte du ciel védique gratuite

L’astrologie védique utilise le zodiaque sidéral, et non le zodiaque tropical comme c’est le cas généralement en Occident.
Par conséquent votre signe solaire, celui de votre ascendant et des autres planètes ont peut-être changé.

Pour le vérifier, c’est très simple !

Cliquez sur la carte ci-dessous, remplissez et envoyez le formulaire.
Vous recevrez votre carte védique dans les 36 heures.

La carte du ciel védique de votre naissance vous permet de connaître :

♦ le signe et le nakshatra de votre ascendant et de toutes les planètes.
♦ les éléments prédominants (Feu, Terre, Air, Eau).
♦ les informations planétaires (force, dignité …).
♦ la planète gouvernante de chacune des 12 maisons.
♦ la grande période planétaire en cours (Mahadasha).
♦ les sous-périodes planétaires en cours (Antardasha).
♦ la carte Navamsha (carte divisionnelle liée au partenaire).